L’ap­pli­ca­tion Google Docs arrive sur Android

Google a lancé hier son appli­ca­tion Google Docs pour Android. Celle-ci permet d’édi­ter et de voir des docu­ments héber­gés sur la plate­forme Docs de Google.

Une fonc­tion­na­lité qui peut s’avé­rer utile a été ajou­tée, la recon­nais­sance optique des carac­tères (OCR) est dispo­nible pour les nouveaux docu­ments.Cette tech­no­lo­gie permet de créer un docu­ment à partir d’une photo qui contient du texte, cette image est ensuite envoyée à un serveur pour l’ana­lyse des carac­tères puis les carac­tères recon­nus sont “écrits” dans le docu­ment Docs créé. Lors de mes tests, la recon­nais­sance n’est pas tota­le­ment fiable car si la lumi­no­sité n’est pas parfaite, aucun carac­tère n’est alors reconnu.Par contre si la lumi­no­sité est correct (photo prise en pleine jour­née) et que les textes sont très lisible, les textes sont dans l’en­semble recon­nus.

 

L’édi­tion ou la créa­tion de docu­ments PowerPoint n’est pas possible dans l’ap­pli­ca­tion par contre il est possible d’édi­ter et de créer des docu­ments Excel et Word.

L’uti­li­sa­tion colla­bo­ra­tive des docu­ments est égale­ment possible, cepen­dant la mise à jour des docu­ments doit être faite manuel­le­ment dans certains cas.

L’ap­pli­ca­tion est pratique pour vision­ner des docu­ments mais l’édi­tion est à revoir. En effet, l’édi­tion n’est pas vrai­ment adapté aux mobiles, c’est l’an­cienne version de Google Docs mobile qui est utili­sée.

Autre incon­vé­nient, il n’est pas possible de travailler sur ses docu­ments de façon décon­necté, tout se passe en ligne.

Un jour après son lance­ment l’ap­pli­ca­tion atteint le cap des 100 000 instal­la­tions.

Pour le moment, je préfère encore la version mobile d’Of­fice 2010 mais qui n’est pas dispo­nible sur les systèmes Android et vous que pensez vous de cette version Android de Google Docs ?

Télé­char­ger Google Docs mobile pour Android sur l’An­droid Market

Loca­li­sa­tion des utili­sa­teurs d’iP­hone et d’An­droid, une nouveau­tée ?

Image Flickr de Sergio Poppi des 'grandes oreilles'

Derniè­re­ment, les médias ont relayés une infor­ma­tion disant que les utili­sa­teurs d’iP­hone étaient traqués dans leurs dépla­ce­ment suite à la dernière mise à jour de l’iOS. Ces dépla­ce­ments étant sont ensuite envoyé à Apple.

Cepen­dant, je ne vois pas ou se situe le problème car ce n’est pas nouveau que les opéra­teurs peuvent suivre leurs abon­nés via les antennes relais, que les GPS stockent les parcours (voir l’af­faire de l’en­lè­ve­ment des deux jumelles en Suisse par leur père). Dans cette affaire, le GPS aurait pu servir à recons­ti­tuer le parcours emprunté par le père d’ou une certaine utilité de traquer l’em­pla­ce­ment des utili­sa­teurs mais pour en reve­nir au sujet initial, l’iP­hone n’est pas un cas à part bien au contraire.

Peu après la révé­la­tion concer­nant l’iP­hone, des cher­cheurs outre atlan­tique ont fait une décou­verte simi­laire dans le système d’ex­ploi­ta­tion mobile concur­rent c’est à dire Android. Ce dernier ne fait qu’un stockage des données des 200 dernières antennes relais et réseaux wifi rencon­trés et n’en­ver­rait pas ces dernières à Google.

La loca­li­sa­tion se fait au moyen des cellules relais, chacune d’elle possède un iden­ti­fiant aussi appelé cell-id et c’est grâce à ça que les télé­phones peuvent être loca­li­sés. Ensuite inter­vient le procédé dit de trian­gu­la­tion qui se base sur un prin­cipe très simple, le télé­phone à loca­lisé se trouve dans un triangle imagi­naire ou les trois extré­mi­tés sont les antennes relais. La trian­gu­la­tion est la façon la plus précise pour géo loca­li­ser c’est aussi utilisé par les GPS. L’autre façon moins précise mais présente en campagne tout comme en ville c’est celle basée unique­ment sur le cellId, une fois cet iden­ti­fiant connu et la puis­sance de récep­tion de l’ap­pa­reil il est possible de connaitre la loca­li­sa­tion dans un péri­mètre plus ou moins proche autour du relais, la préci­sion n’est pas toujours au rendez-vous et peut parfois atteindre 10 km alors qu’a­vec la trian­gu­la­tion, les meilleurs résul­tats sont de l’ordre de 100 mètres.

Si vous possé­dez un télé­phone Android, il est possible via une appli­ca­tion présente sur l’An­droid Market de connaitre l’an­tenne relais sur laquelle on est connecté et de tester la loca­li­sa­tion par les antennes relais en obte­nant le résul­tat sur une carte Google Maps. Cette appli­ca­tion gratuite s’ap­pelle Loca­tion-API. Si vous connais­sez d’autre appli­ca­tion pour Windows Mobile/Phone, Symbian n’hé­si­tez pas à les parta­ger pour complé­ter l’ar­ticle.

Pour finir, je trouve que cette affaire fait beau­coup de bruit alors que rien de tout ce qui est dit est nouveau, en plus la loca­li­sa­tion par antenne relais n’est pas précise au point de dire qu’une personne se trouve dans tel ou tel maga­sin sauf si le GPS est activé mais dans un tel cas la batte­rie s’épuise très rapi­de­ment.

Article du Figaro sur l’en­lé­ve­ment des deux jumelles en Suisse

Le Pari­sien à propos du “mouchard” présent dans les iPhone, iPad et Android

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Promo­tion sur Office pour les ensei­gnants

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Micro­soft propose actuel­le­ment une réduc­tion pour les ensei­gnants voulant acqué­rir Office 2010.

Cette promo­tion permet d’ache­ter une version complète de l’édi­tion Office Pro Plus pour la somme de huit euros.

L’offre est valable pour tous les ensei­gnants ratta­chés à l’édu­ca­tion natio­nale de plus, chaque ensei­gnant comman­dant une version d’Of­fice obtient gratui­te­ment une adresse mail prenom.nom@­prof-enligne.fr. Cette adresse en plus d’être une boîte mail donne accès à un espace de stockage de 10 Go pour les cour­riels, un espace d’échange pour y dépo­ser les cours avec les élèves mais aussi y récu­pé­rer leurs travaux. Cet espace dispose de 25 Go en ligne.

SI vous êtes ensei­gnant ou alors que vous connais­sez une personne qui pour­rait être inter­es­sée par cette offre, sachez que la promo­tion est valable jusqu’au 31 décembre 2012 ou à l’épui­se­ment des stocks ( 110 000 licences dispo­nibles)

Profi­tez d’Of­fice Pro Plus à huit euros pour les ensei­gnants

Mango la mise a jour Windows Phone 7 devoi­lee

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Quelques semaines après NoDo la première grosse mise à jour de son système mobile, Windows Phone 7, Micro­soft a dévoilé offi­ciel­le­ment lors du Mix 11 le nom et le contenu de la futur mise à jour de Windows Phone 7, Mango.

Les nouveau­tés présen­tées à Las Vegas concernent notam­ment les déve­lop­peurs, au niveau des API (Appli­ca­tion Program­ming Inter­face), Micro­soft a annoncé l’ar­ri­vée de 1 500 API qui donne­ront plus de possi­bi­li­tés aux déve­lop­peurs dont plus de fonc­tions à l’uti­li­sa­teurs final.

Le navi­ga­teur sera rempla­cée par la dernière version en date d’In­ter­net Explo­rer, la version 9 comme celle pour PC. Windows Phone 7 sera donc doté d’un navi­ga­teur suppor­tant HTML 5 et d’une accé­lé­ra­tion maté­rielle.

L’in­ter­face devrait être égale­ment revu, comme évoqué précé­dem­ment dans les API qui devraient arri­ver une concer­nera les Live Agent qui pour­ront permettre de créer des appli­ca­tions qui auront leurs place sur l’écran d’ac­cueil. Le Market Place sera lui aussi modi­fié pour un affi­chage plus claire des appli­ca­tions et une partie jeux devrait faire son appa­ri­tion.

Cette mise à jour qui devrait porté le numéro à 7.5 arri­vera cet automne, période à laquelle les premiers termi­naux Nokia devrait être commer­cia­li­sés.

Photo par Long Zheng sur Flickr

Vers la fin de Spotify dans son offre gratuite ?

Le service d’écoute de musique en strea­ming Spotify a annoncé qu’il allait modi­fier ses offres gratuites de strea­ming.

Jusqu’a main­te­nant deux offres gratuites exis­taient, les offres Free et Open, la première étant celle propo­sée aux nouveaux membres et la seconde acces­sible unique­ment par invi­ta­tion et était celle des comptes créés au lance­ment du service.

La seule limi­ta­tion que possé­dait ces deux offres était celle de la non dispo­ni­bi­lité des musiques en mode hors ligne mais Spotify a revu son offre.

Main­te­nant, une chan­son ne pourra être écou­tée plus de 5 fois par utili­sa­teur, car d’après eux, Spotify est un service d’écoute avant achat ce qui veut dire qu’au bout de cinq écoute un utili­sa­teur sait s’il aime ou non une chan­son et s’il doit l’ache­ter. Cette nouvelle mesure va réduire dras­tique­ment la dimen­sion sociale de Spotify, quel sera alors l’in­té­rêt de créer des play­list pour les écou­ter au maxi­mum 5 fois ?

Dernière limi­ta­tion ajou­tée, pour tous les comptes gratuits, la limite d’écoute sera fixée à 10 heures d’écoute mensuelle.

Ce chan­ge­ment de cap inter­vient alors que Spotify s’ap­prête à lancer sa version aux USA. Les modi­fi­ca­tions seront appliquées au 1er mai pour les comptes créés avant le 1er novembre 2010 et six mois après pour les autres.

Billet sur le blog de l’équipe Spotify France