La fin de Molo­tov ? 5 bonnes raisons de passer à la version payante

Il est assez rare que je fasse des retours d’ex­pé­rience sur mes achats sur ce blog mais à la lecture de nombreux articles indiquant la fin proche de Molo­tov je voudrais vous parta­ger mon point de vue.

Pour rappel Molo­tov est une appli­ca­tion dispo­nible sur les TV connec­tées Android, sur ordi­na­teur, mac et smart­phone permet­tant de regar­der la télé­vi­sion sur inter­net dans avoir passer par la TNT ou le déco­deur de la box de son opéra­teur.

Ce service est proposé gratui­te­ment pour les chaines en clair et des abon­ne­ments permettent d’ac­cé­der à du contenu payant et divers avan­tages.

La polé­mique

La polé­mique actuelle fait réfé­rence aux récentes condam­na­tions de Molo­tov par la justice Française sur les diffé­rents avec le Groupe M6 (M6,W9,6TER) dont le procès a été perdu suivi cette semaine par le procès gagné par le Groupe TF1 et ils ont été condam­nés à ne plus diffu­ser gratui­te­ment les chaines de ces deux groupes.

Il ne reste donc plus que les chaines publiques et quelques autres chaines de la TNT.

Que vaut la version payante ?

Tout d’abord parlons des tarifs, plusieurs niveaux d’abon­ne­ments sont dispo­nibles allant de 3,99 par mois à XXX €. Le premier mois d’es­sai est gratuit.

3,99 c’est moins que la plupart des options propo­sées par les FAI, sur Sosh par exemple l’op­tion TV est factu­rée à 5 € par mois, chez Orange même son de cloche.

L’en­re­gis­tre­ment

Cette fonc­tion est égale­ment propo­sée par les FAI mais la plus-value-value de Molo­tov vous permet de program­mer l’en­re­gis­tre­ment depuis votre ordi­na­teur, ou péri­phé­rique non pas que de l’émis­sion ou la série en cours mais aussi de tous les épisodes qui vont suivre vous êtes ainsi sûr de ne pas rater un seul épisode ou une seule émis­sion.

Concer­nant la capa­cité de stockage on ne parle pas ici de GO mais d’heures, l’offre de base vous permet de stocker 100 heures sur votre compte.

Le contrôle du direct

Ici encore une fonc­tion propo­sée par les FAI, vous pouvez mettre en pause, reve­nir en arrière de quelques minutes mais le prin­ci­pal avan­tage de Molo­tov c’est que vous pouvez reve­nir au début de l’émis­sion même si vous la prenez en plein milieu ! On parle donc ici d’un véri­table contrôle du direct.

L’in­ter­face

Elle est très agréable à utili­ser, vous n’avez pas une simple télé­com­mande mais une vue en temps réel de tous les programmes qui sont diffu­sés, des acteurs des séries/films, des présen­ta­teurs, en un clic vous pouvez voir les épisodes précé­dents et ou suivants ainsi que les dates de diffu­sion et tout cela de manière très ergo­no­mique.

Omni­ca­nal

Imagi­nez que vous avez enre­gis­trer un épisode de votre série préfé­rée, vous pouvez commen­cer à le regar­der sur votre télé­phone puis le finir tranquille­ment chez vous devant votre TV ou votre ordi­na­teur à l’en­droit où vous vous êtes arrêté.

Hors ligne

Les programmes enre­gis­trés sur le compte peuvent être synchro­ni­sés et vus de manière hors ligne, prévoyez cepen­dant un certain temps pour le télé­char­ge­ment.

L’ac­cès aux chaines depuis l’Eu­rope

Si vous voya­gez souvent, vous avez surement dû remarquer que nous ne pouvons pas regar­der nos chaines Françaises depuis l’étran­ger pour des ques­tions de droits. Ici plus de problème et pas besoin de passer par un VPN pour conti­nuer à regar­der vos programmes.

Conclu­sion

En résumé je vous recom­mande forte­ment de tester la version payante, ceci n’est pas un article affi­lié à Molo­tov, vous ne trou­ve­rez d’ailleurs pas de lien spon­so­risé l’objec­tif étant que cette appli­ca­tion ne s’ar­rête pas car elle n’est pas qu’une simple appli­ca­tion pour voir la TV en direct.

De plus toute appli­ca­tion a un coüt, le stockage, les serveurs, les déve­lop­pe­ments etc le fait de payer pour un service est donc normal bien qu’ou­blié avec les GAFAM qui nous proposent gratui­te­ment leurs services en échange de nos données et d’un ciblage publi­ci­taire …

Et vous utili­sez vous Molo­tov ? Si oui êtes-vous passé à la version payante ou allez-vous stop­per son utili­sa­tion ?

Windows Termi­nal la nouvelle invite de commande de Micro­soft

Vous connais­sez sans doute la célèbre invite de commande de Windows ou Commande Prompt en anglais. Plus souvent connu en raccourci sous cmd elle n’a guère évolué depuis le début des années 2000. Pas de gestion des couleurs, pas d’on­glet, etc. Des logi­ciels sont sortis entre temps pour combler ces fonc­tion­na­li­tés mais jusqu’à main­te­nant rien de la part de Micro­soft c’est main­te­nant chose faite avec Windows Termi­nal !

Cette nouvelle version de l’in­vite de commande est une appli­ca­tion Windows Store à part entière.

Vous pouvez ouvrir plusieurs invites de commande au sein de la même fenêtre avec des onglets, les renom­mer, chan­ger la couleur et même mélan­ger les diffé­rentes invites de commande.

Capture d’écran de Windows Termi­nal

Dans la capture d’écran ci-dessous les plus atten­tifs auront peut être remarqué la présence d’un shell Azure et la possi­bi­lité de toujours utili­ser l’in­vite de commande actuel.

Si vous utili­sez égale­ment le Windows Subsys­tem for Linux (WSL), vous pour­rez égale­ment ouvrir le termi­nal de votre distri­bu­tion dans un onglet.

Pour rappel, le WSL vous permet d’exé­cu­ter sur votre envi­ron­ne­ment Windows une version de Linux distri­buée par le Windows Store.

Diffé­rentes distri­bu­tions sont propo­sées, Ubuntu, Debian, Kali Linux et bien d’autres sont présentes.

Vous pouvez ainsi utili­ser des commandes Linux, des programmes etc depuis votre bureau Windows sans avoir à lancer une VM avec Hyper V, Vmware ou Virtual­box.

Comment instal­ler Windows Termi­nal?

L’ins­tal­la­tion peut se faire de deux manières. Si vous avez accès au Windows Store, vous pouvez télé­char­ger direc­te­ment l’ap­pli­ca­tion Windows Termi­nal depuis le store Windows.

Si vous n’avez pas la possi­bi­lité d’uti­li­ser le Windows Store il est tout de même possible de l’ins­tal­ler en télé­char­geant direc­te­ment le package sur le Github du projet (lien direct pour la dernière release en date de cet article)

Que pensez-vous de ce nouveau termi­nal ?

Comment résoudre les problèmes de droits XAMPP avec WordP­ress sous MAC ?

Lors de l’ins­tal­la­tion de Xampp sous MAC, les para­mètres de gestion de droits sur les dossiers font que WordP­ress n’a pas accès en écri­ture sur ses réper­toires.

Vous obtien­drez donc un message d’er­reur à l’ins­tal­la­tion vous deman­dant de créer le fichier wp-config.php.

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Rendez-vous alors dans Finder et dans le réper­toire htdocs puis faites un clic droit sur le dossier de WordP­ress.

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Cliquez ensuite sur lire les infor­ma­tions.


Dans la fenêtre qui s’ouvre vous pouvez voir en bas la section Partages et permis­sions qui liste les droits selon les profils. La ligne everyone est en lecture seule.

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Pour la chan­ger cliquez sur le cade­nas, entrez votre mot de passe ou votre empreinte avec le touch id et chan­gez la valeur pour Lecture et écri­ture puis réac­tua­li­sez la page.

Lorsque j’ins­talle une exten­sion, WordP­ress me demande des accès ftp ?

Petite subti­lité égale­ment du compor­te­ment sous Mac, vous devez ici éditer votre fichier wp-config.php et y rajou­ter la ligne suivante:

define( ‘FS_METHOD’, ‘direct’ );

Vous êtes main­te­nant prêt pour utili­ser WordP­ress depuis votre Mac !

Atten­tion ces mani­pu­la­tions sont à faire pour un envi­ron­ne­ment de déve­lop­pe­ment.

L’ac­cès en mode lecture écri­ture pour tous est forte­ment décon­seillé sur des serveurs de produc­tion !

Comment ouvrir un fichier JSON avec Excel ou Power BI ?

Le format JavaS­cript Object Nota­tion est très fréquem­ment utilisé sur inter­net. Par exemple, pour les échanges d’in­for­ma­tion entres serveurs ou avec votre navi­ga­teur.

Cepen­dant si vous souhai­tez ouvrir des fichiers JSON avec Excel pour les exploi­ter comme des tableurs clas­siques, suivez ces quelques étapes.

Si vous utili­sez PowerBI, vous pouvez direc­te­ment passer à l’étape 3.

Si vous n’avez pas de fichier JSON, vous pouvez utili­sez ce json que j’ai utilisé dans mon exemple ci-après

[{« colA »:1, »colB »: »abc », »colC »: »def »},{« colA »:2, »colB »: »abc », »colC »: »def »},{« colA »:3, »colB »: »abc », »colC »: »def »},{« colA »:4, »colB »: »abc », »colC »: »def »},{« colA »:5, »colB »: »abc », »colC »: »def »},{« colA »:6, »colB »: »abc », »colC »: »def »},{« colA »:7, »colB »: »abc », »colC »: »def »},{« colA »:8, »colB »: »abc », »colC »: »def »},{« colA »:9, »colB »: »abc », »colC »: »def »}]

Excel

  1. Pour commen­cer, ouvrez un nouveau clas­seur Excel

2. Cliquez ensuite sur l’on­glet Données puis Obte­nir des données -> A partir d’un fichier fichier et enfin selec­tio­nés JSON.

3. Une fenêtre Power Query s’ouvre alors avec une descrip­tion très succincte du fichier. Comme vous pouvez le voir seule une colonne est présente au lieu de 3.

4. Pour voir les autres cliquez sur l’un des numé­ros de ligne pour avoir le détail de la ligne. Si vous cliquez sur Record, vous pouvez reve­nir en arrière avec les étapes appliquées dans la colonne de Droite. Suppri­mez simple­ment l’élé­ment Navi­ga­tion pour reve­nir à l’écran précé­dent.

Pour trans­for­mer ces données en fichier Excel, cliquez sur « Vers la table » juste en dessous de Fichier

5. Dans la fenêtre qui s’af­fiche, lais­sez les valeurs telles quelles en cliquant sur OK.

6. Cliquez ensuite sur le bouton entouré en noir dans la capture ci-dessus qui va permettre de conver­tir chaque objet en colonne.

7. Sélec­tion­nez alors les colonnes que vous souhai­tez conver­tir puis cliquez sur OK

8. Nous arri­vons à la dernière étape, cliquez sur « Fermer et char­ger » pour que les données reviennent dans votre clas­seur d’ori­gine.

Il ne vous reste plus qu’à renom­mer les colonnes pour que votre fichier soit prêt à être utilisé.

Google Meets la solu­tion de visio­con­fé­rence de Google gratuite pour tous

Autre­fois réser­vée aux clients profes­sion­nels Gsuite de Google, la solu­tion de visio­con­fé­rence est désor­mais dispo­nible gratui­te­ment pour tous les comptes grand public. Cette déci­sion inter­vient avec le succès de ses concur­rents Zoom ou Micro­soft Teams durant cette période de confi­ne­ment. Le déploie­ment est progres­sif, pour ma part je l’ai depuis aujourd’­hui.

Quelles diffé­rences avec la version payante ?

La première diffé­rence est le nombre maxi­mum de parti­ci­pants qui passe de 250 à 100 personnes ce qui est large­ment suffi­sant pour réunir ses amis ou sa famille. Vous ne pour­rez pas rejoindre la confé­rence unique­ment par télé­phone ce qui exclura les personnes n’ayant pas d’ac­cès à inter­net.

Comment l’uti­li­ser ?

Pour orga­ni­ser une confé­rence Google Meets vous avez deux possi­bi­li­tés soit partir de votre boîte Gmail soit depuis Google Agenda.

Gmail

Pour Gmail, lorsque votre compte sera auto­risé à utili­ser Meets, vous aurez une fenêtre comme ci-dessous qui mettra en surbrillance deux nouveaux éléments dans la barre laté­ral.

Le premier lien, « Démar­rer une réunion » vous permet de démar­rer immé­dia­te­ment une réunion qui s’ou­vrira dans une nouvelle fenêtre

Vous pouvez bien entendu acti­ver ou désac­ti­ver la webcam et le micro en cliquant sur les icones respec­tives dans la fenêtre de gauche. Une fois que vous êtes prêt cliquez sur « Parti­ci­per à la réunion »

Vous pouvez alors invi­ter des parti­ci­pants soit en copiant le lien, soit en cliquant sûr Ajou­ter.

Google Agenda

Concer­nant Google Agenda, la procé­dure est quasi­ment iden­tique, il vous suffit de créer une nouvelle réunion

Cliquez ensuite sut Ajou­ter une visio­con­fé­rence Google Meets et vos invi­tés auront direc­te­ment accès depuis l’in­vi­ta­tion à la visio­con­fé­rence. Et vous, quelle solu­tion de visio­con­fé­rence utili­sez-vous à titre profes­sion­nel ou person­nel ?